La pièce était oppressante et sombre. Des bougies vacillaient et emplissaient l'espace d'ombres fantomatiques. Trois maîtres à l'air sévère étaient assis derrière un long banc recouvert d'une rangée de grosses chevilles brillantes. Maître Kamp se leva et me déshabilla lentement et avec séduction. Grand Maître Legrand m'ordonna de m'asseoir sur la première cheville. Je m'exécutai, m'efforçant de rester détendu en m'abaissant. Elle me pénétra sans trop de gêne, mais en jetant un coup d'œil sur le banc et en constatant la taille des chevilles à l'autre extrémité, mes fesses commencèrent à se contracter. Je savais ce qui allait arriver…
Effectivement, Grand Maître Legrand me dit alors de passer à la cheville suivante, un peu plus grande que la première, puis à la suivante, puis à la suivante, et encore à la suivante, étirant mes fesses à chaque fois jusqu'à ce que j'aie l'impression qu'elles se déchiraient littéralement. La sixième et dernière cheville était incroyablement grande. J'essayai de toutes mes forces de la rentrer, mais c'était trop. J'avais échoué. Legrand baissa précipitamment son pantalon et retira sa bite géante, épaisse et bulbeuse. Je m'accroupis sur le banc et retins mon souffle tandis qu'elle me pénétrait lentement. Il se mit bientôt à va-et-vient, enfonçant son énorme bite, musclée et crue, dans mes entrailles.
Le rythme et la profondeur de ses coups changèrent soudain, tandis qu'il entrait dans un état de pure frénésie, alimentée par le désir. Il gicla son sperme profondément en moi. Je le sentis jaillir du bout de sa queue. Je me sentis instantanément pure, vivante et prête pour la prochaine étape de ce remarquable voyage vers l'illumination.