Le jeune minet européen Hugo tente depuis des années de dissimuler un secret sexy qui, s'il venait à éclater, dévoilerait sa vie apparemment normale.
Ce beau jeune minet ne courait pas après les filles… ni les garçons, d'ailleurs. Au fil du temps, Hugo a découvert qu'une seule personne pouvait réellement éveiller sa flamme primitive et conquérir son cœur : son propre père, M. Adrii.
Le minet aux hormones s'agitait et passait d'innombrables nuits à fantasmer sur le corps incroyable de son père, avant de se réveiller le matin avec son boxer couvert de sperme. Peu après, la culpabilité s'installait.
Et pourtant, malgré ce sentiment de culpabilité, Hugo se surprenait souvent à apercevoir son père, grand, magnifique et athlétique, tandis que l'homme plus âgé se déshabillait et se promenait dans la chambre principale en sous-vêtements sexy Calvin Klein.
Hugo se touchait, retenant son souffle tandis que son père se déshabillait, complètement inconscient des attentions et du désir secrets de son fils… ou l’était-il vraiment ?
Puis, une nuit, alors qu’Hugo était allongé sur son lit en boxer, s’adonnant à ses fantasmes secrets, M. Adrii entra dans la chambre de son fils sans prévenir. Le grand et large d’épaules portait seulement ses sous-vêtements Calvin Klein – les préférés d’Hugo – et s’assit sur le lit à côté de lui.
Alors que le père d’Hugo effleurait doucement et séduisait le visage merveilleux du garçon, il assura à son fils que ses regards de désir et de désir n’étaient pas passés inaperçus. Mieux encore, M. Adrii le regarda profondément dans les yeux et lui caressa l’intérieur de la cuisse d’un geste significatif. Oui, en effet, avoua M. Adrii : il savait ce que le garçon voulait et ce dont il avait besoin, car il ressentait la même chose.
Le soupir de soulagement et d’extase paradisiaque qui s’échappa d’Hugo fut suivi d’une inspiration profonde lorsque la main sensuelle et érotique de son père commença à lui caresser la cuisse et à effleurer ses jockeys. Immédiatement, le garçon fut complètement dressé et excité. Sa main remonta le long de la cuisse de M. Adrii.
Puis ils s’embrassèrent.