Le jardin était la propriété de Wolf. La vue, le feuillage, la cour, et le garçon suppliant et haletant qui tripotait son paquet – oui, il possède aussi le minet gémissant à côté de lui. Il possède le corps de ce passif roux depuis plusieurs mois maintenant, à plusieurs reprises – dans son bureau, dans sa maison de campagne, et maintenant, dans le jardin de sa propriété.
Le grand actif bien membré nourrit patiemment le minet affamé de sa bite géante. Il tient la main de Caleb Anthony tandis que le minuscule passif gay peine à en faire entrer toute la longueur dans sa petite bouche. Caleb travaille lentement, tétant avec constance le gland de Wolf.
Hypnotisé par le goût, sa tête oscille d'avant en arrière, prenant tout ce que Wolf a à offrir. La verge du docteur glisse entre ses lèvres, submerge ses papilles et menace le bord de sa gorge. La différence de taille entre ces deux-là ne le ralentira pas ; au contraire, elle ne fera qu’accroître l’appétit du minet.
Caleb n’est pas le seul à avoir faim. Un chœur d’oiseaux se réjouit de voir Wolf dépouiller le minet de son short rayé. Le bon docteur examine son garçon attentivement, minutieusement et patiemment. Chaque crevasse, chaque bouton, chaque centimètre de chair est pressé, pétri, goûté. La façon dont l’expression de Caleb fond sous les larges mains et la bite plus imposante du docteur fait sourire Wolf. Il sent qu’il est temps de réclamer sa récompense.
Alors que leurs corps en sueur se heurtent à l’ombre du patio, le Dr Wolf se demande où d’autre, sur sa propriété et dans le monde, il pourra emmener son garçon. Et quelles positions lui restent-il à prendre…