J'étais donc là, dans ma tente, les yeux fermés, la chemise ouverte, en train de branler ma grosse bite épaisse, quand le jeune Noah est apparu de nulle part ! Le reste de la troupe était censé être près de la rivière. Le petit salaud avait dû filer. Je n'aurais pas pu être plus exposée ni me faire plaisir de manière plus visible.
Il semblait pourtant prendre la chose avec philosophie, engageant même une conversation sur la crème solaire alors que je cachais mon érection sous mon chapeau. Correction : il parlait de crème solaire, mais il était évident qu'il ne pensait qu'au sexe. Et qui étais-je pour dire non ? En moins d'une minute, j'avais réexposé ma bite et l'avais enfoncée dans la bouche du jeune Noah.
Il a pris les vingt-deux centimètres de ma bite dure comme du roc jusqu'au fond de sa gorge. Je me suis allongée sur le tapis de sol et j'ai laissé la langue et la bouche du garçon opérer leur magie suprême. Puis je lui ai souri et lui ai murmuré à l'oreille de se retourner, de baisser son caleçon et d'exposer son cul lisse, pâle et de pêche. Après l'avoir bien mouillé avec ma langue, je l'ai jeté sur le dos, j'ai soulevé ses jambes et j'ai enfoncé ma grosse bite profondément en lui. J'ai enfoncé mon caleçon sur sa bouche pour étouffer ses cris, car je savais que je ne pourrais pas m'empêcher de me déchaîner. Je l'ai tiré sur le ventre et j'ai commencé à le défoncer.
Il m'a demandé de jouir en lui. Ces mots m'ont instantanément rendue folle de désir et j'ai jailli comme une bouche d'incendie, bien au fond de ses entrailles.